Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
C’est l’heure de mon cappuccino, nous nous arrêtons dans un petit café désert à Ala dei Sardi
Le patron, proche de la retraite, est heureux d’accueillir des français, lui-même est allé plusieurs fois à Lourdes.
Il amène à Gégé un dépliant de la Lancia Musa. Nous pensons qu’il est fier de nous montrer sa future voiture, acquise enfin grâce à ses économies…
Il insiste pour que Gégé déplie la pub et nous découvrons sur un poster notre première dame, Carla en personne, toute dévêtue poser pour Lancia Il éclate de rire et nous l’informons que cette pub n’a jamais été montrée en France.
Me doutant bien que le modérateur allait me censurer, je n’ai pas pris de photo
La Côte Est nous attend et les belles routes aussi, ciao Vue sur le Lago di Posada Ca fait un bout de temps que nous enroulons les virages, sans traverser de village lorsque nous dépassons un bonhomme qui porte du bois sur son épaule, presque un tronc entier.
Le prochain village n’est plus très loin, Gégé s’arrête et lui propose de l’aider en traînant le bois derrière la moto. Il refuse gentiment en disant qu’il habite la première maison et qu’il faut bien ramener du bois pour se chauffer le soir…et nous souhaite bon voyage Mon embrayage est fatigué, il patine…mon éléfant peine à prendre de la vitesse et s’essoufle à plus de 90km/h.
Nous arrivons sur la Côte Est à San Teodoro. Tous les campings sont fermés…
Les plages sont belles et désertes. Au loin, l’île de Tavolara émerge Au sud d’Olbia, à Porto San Paolo, nous en trouvons finalement un, presque désert.
Après 10 petites minutes de marche à pied, nous arrivons sur la plage de sable fin et en face se dresse imposante, l’île de Tavolara, plus petite monarchie du monde. Elle est longue de 6km et large de 500 m, avec un pic culminant à 500 mètres.
Le patron, proche de la retraite, est heureux d’accueillir des français, lui-même est allé plusieurs fois à Lourdes.
Il amène à Gégé un dépliant de la Lancia Musa. Nous pensons qu’il est fier de nous montrer sa future voiture, acquise enfin grâce à ses économies…
Il insiste pour que Gégé déplie la pub et nous découvrons sur un poster notre première dame, Carla en personne, toute dévêtue poser pour Lancia Il éclate de rire et nous l’informons que cette pub n’a jamais été montrée en France.
Me doutant bien que le modérateur allait me censurer, je n’ai pas pris de photo
La Côte Est nous attend et les belles routes aussi, ciao Vue sur le Lago di Posada Ca fait un bout de temps que nous enroulons les virages, sans traverser de village lorsque nous dépassons un bonhomme qui porte du bois sur son épaule, presque un tronc entier.
Le prochain village n’est plus très loin, Gégé s’arrête et lui propose de l’aider en traînant le bois derrière la moto. Il refuse gentiment en disant qu’il habite la première maison et qu’il faut bien ramener du bois pour se chauffer le soir…et nous souhaite bon voyage Mon embrayage est fatigué, il patine…mon éléfant peine à prendre de la vitesse et s’essoufle à plus de 90km/h.
Nous arrivons sur la Côte Est à San Teodoro. Tous les campings sont fermés…
Les plages sont belles et désertes. Au loin, l’île de Tavolara émerge Au sud d’Olbia, à Porto San Paolo, nous en trouvons finalement un, presque désert.
Après 10 petites minutes de marche à pied, nous arrivons sur la plage de sable fin et en face se dresse imposante, l’île de Tavolara, plus petite monarchie du monde. Elle est longue de 6km et large de 500 m, avec un pic culminant à 500 mètres.
La seule chose qu'on est sûr de ne pas réussir est celle qu'on ne tente pas - P.E Victor
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Mercredi 14 AVRIL 2010
Ciel couvert au réveil mais c’était comme ça pendant presque tout notre séjour. Vers la fin de la matinée, le soleil réussit toujours à forcer le passage…nous déplantons quand même, histoire de tester l’évolution de mon embrayage, il nous reste pas mal de route à faire et nous sommes censés embarquer à Bastia après-demain soir
Gégé a essayé d’enlever le couvercle de la cloche d’embrayage hier soir mais les vis sont trop bien serrées…
Nous nous arrêtons chez un garagiste à Olbia afin de lui demander de l’aide pour desserrer les vis. Avec les bons outils c’est chose faite en 2 temps 3 mouvements. Nous continuons notre route vers le Golfo Aranci où nous mangerons nos éternels sandwichs à la charcuterie sarde et pecorino dont on ne se lasse pas ! Les oranges sardes très juteuses font partie de notre dessert quotidien.
Porto Cervo, seul endroit qui ne nous a pas plu en Sardaigne. Le Saint-Tropez local, tout semble superficiel, c’est trop propre, les villas trop luxueuses…vite on file vers le Capo d’Orso. Le Capo d’Orso tire son nom d’un rocher en granit sculpté par le vent et qui à la forme d’un ours. Il est tellement imposant qu’on a du mal à le prendre en photo La colline sur laquelle il est « perché » domine la mer sur une hauteur de 120 mètres et au loin on admire l’archipel de La Maddalena. La vue est saisissante La route qui nous ramènera à Sta Teresa di Gallura me semblera longue, très longue. Le cas de mon embrayage empire et je me fais même dépasser par des Vespa. Je plafonne à 60 km/h.
A l’office de tourisme, on nous indique le seul camping ouvert dans la région à 20 km au sud à Vignola Mare en bordure d’une très belle plage de sable.
Pendant que je monte la tente et installe nos affaires, Gégé démonte mon embrayage, nettoie scrupuleusement les disques un après l’autre, à l’essence. Ensuite, il les a remontés en modifiant l’empilement en commençant par le disque le plus garni au fond.
Le soir, démoralisés par l’idée que la fin de nos vacances est toute proche, nous mangerons une pizza au resto du camping accompagnée d’un bon verre de vin.
Jeudi 15 AVRIL 2010
Ce sera notre dernière journée en Sardaigne…en prenant la moto de Gégé, nous allons faire quelques achats souvenirs, du pecorino, du vin, des gâteaux….
Je trouve une superbe poterie mais impossible de la ramener sans risquer de la casser L’artisanat sarde est très varié, il y en a pour tous les goûts
Ciel couvert au réveil mais c’était comme ça pendant presque tout notre séjour. Vers la fin de la matinée, le soleil réussit toujours à forcer le passage…nous déplantons quand même, histoire de tester l’évolution de mon embrayage, il nous reste pas mal de route à faire et nous sommes censés embarquer à Bastia après-demain soir
Gégé a essayé d’enlever le couvercle de la cloche d’embrayage hier soir mais les vis sont trop bien serrées…
Nous nous arrêtons chez un garagiste à Olbia afin de lui demander de l’aide pour desserrer les vis. Avec les bons outils c’est chose faite en 2 temps 3 mouvements. Nous continuons notre route vers le Golfo Aranci où nous mangerons nos éternels sandwichs à la charcuterie sarde et pecorino dont on ne se lasse pas ! Les oranges sardes très juteuses font partie de notre dessert quotidien.
Porto Cervo, seul endroit qui ne nous a pas plu en Sardaigne. Le Saint-Tropez local, tout semble superficiel, c’est trop propre, les villas trop luxueuses…vite on file vers le Capo d’Orso. Le Capo d’Orso tire son nom d’un rocher en granit sculpté par le vent et qui à la forme d’un ours. Il est tellement imposant qu’on a du mal à le prendre en photo La colline sur laquelle il est « perché » domine la mer sur une hauteur de 120 mètres et au loin on admire l’archipel de La Maddalena. La vue est saisissante La route qui nous ramènera à Sta Teresa di Gallura me semblera longue, très longue. Le cas de mon embrayage empire et je me fais même dépasser par des Vespa. Je plafonne à 60 km/h.
A l’office de tourisme, on nous indique le seul camping ouvert dans la région à 20 km au sud à Vignola Mare en bordure d’une très belle plage de sable.
Pendant que je monte la tente et installe nos affaires, Gégé démonte mon embrayage, nettoie scrupuleusement les disques un après l’autre, à l’essence. Ensuite, il les a remontés en modifiant l’empilement en commençant par le disque le plus garni au fond.
Le soir, démoralisés par l’idée que la fin de nos vacances est toute proche, nous mangerons une pizza au resto du camping accompagnée d’un bon verre de vin.
Jeudi 15 AVRIL 2010
Ce sera notre dernière journée en Sardaigne…en prenant la moto de Gégé, nous allons faire quelques achats souvenirs, du pecorino, du vin, des gâteaux….
Je trouve une superbe poterie mais impossible de la ramener sans risquer de la casser L’artisanat sarde est très varié, il y en a pour tous les goûts
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Après avoir mangé une dernière coupe de glace sur la belle place du village de Sta-Teresa et nous être renseignés sur les horaires de traversée du lendemain, nous retournons au camping pour nous octroyer enfin un après-midi plage, sans baignade, la mer est encore bien trop fraîche
Vendredi 16 AVRIL 2010
Nous démontons une dernière fois notre tente. Gégé va payer le camping pendant que je fixe les derniers bagages. Au retour, il pose ma carte d’identité sur mon top-case
L’embarquement sur le ferry à Bastia se fait ce soir à 18h30.
Nous quittons la Sardaigne à 10h et arriverons à Bonifacio à 11h.
C’est le cœur lourd que nous quittons le camping avec une petite heure d’avance, ça nous laisse une marge au cas où…
Sur la longue ligne droite, nous roulons tranquillement, les images se bousculent dans ma tête et subitement après 7-8 kms j’ai une révélation. J’ai oublié de ranger la carte d’identité posée sur mon top-case, elle est forcément tombée lors du demi-tour effectué dans le camping J’accélère un grand coup pour dépasser Gégé, je m’arrête pour lui annoncer la nouvelle.
Il me demande de vérifier quand même dans mon portefeuille mais je sais qu’elle n’y est pas.
Afin de ne pas le contrarier d’avantage, je descends de la moto et là, j’aperçois ma carte d’identité coincée entre le top-case et mon gros sac baluchon fixé sur la selle. Miracle de l’aérodynamisme… . Quel grand coup de bol, elle aurait pu s’envoler maintes fois sur la route et aurait été introuvable par la suite.
Pour acheter les billets de traversée Sardaigne-Corse, ils la demandent pour enregistrer les passagers….un acte manqué qui traduisait très bien mon envie de rester en Sardaigne et de refaire un tour !
Nous finissons par arriver largement en avance sur le petit port d’embarquement et serons accompagnés d’une classe d’ado.
Gégé en profite pour faire sa page d’écriture…. Les gabians voyagent gratuitement Et la Corse nous tend ses bras avec ses cimes toujours enneigées Nous devrions faire le plein d’essence à la descente du bateau mais à 1,53/litre, c’est exagéré. Nous verrons plus loin et histoire de ne pas s’emmerder sur la nationale qui monte à Bastia et vu que nous avons encore de la marge nous reprenons la direction des aiguilles de Bavella mais en passant par Levie cette fois-ci.
Mon éléfant est heureux d’avoir retrouvé toute sa fougue et il s’amuse sur les petites routes
Ce sursaut d’énergie lui donne très soif et je tombe sur la réserve…aïe, aïe, aïe…il n’y a pas beaucoup de stations dans les montagnes…
Nous traversons plusieurs villages sans stations, je ralentis le rythme, je fini par couper le moteur dans les descentes de col..et hop, 5 kms de gagnés !
Dans le village de Levie, Gégé demande où est la prochaine station. On lui répond qu’elle se trouve à la sortie du village à 2kms mais qu’elle est très certainement fermée à cette heure-ci. Il est 12h17, nous fonçons et effectivement elle est fermée de 12h15 à 13h30. Retour au village, nous n’avons pas le choix. Ca fait 40 kms que je suis sur la réserve…nous mangerons tranquillement au resto du village en attendant qu’elle ouvre Le retour sur Bastia s’est fait de manière bien triste…de longues lignes droites en roulant aux allures légales. Jamais vu autant de contrôles radars mobiles et en véhicules banalisés (moto et auto) A raison d’un flic planqué dans les fourrés tous les 6-7 kms, pas le choix, tu t’adaptes
80 kms dans ces conditions, c’est très long et très ennuyeux…surtout lorsque ça bouchonne sévèrement sur les 15 derniers kms. S’agit pas d’être à la bourre en voiture, le jour où tu dois prendre le ferry !
Nous sommes à Bastia vers 17h30, une heure d’avance. Une dernière coupe de glace sur le port et c’est bien tristes que nous rejoignons l’énorme ferry de Mobylines qui va engloutir nos éléfants et nous ramener à Toulon
Bastia à la tombée de la nuit La traversée se passera aussi bien au retour qu’à l’aller, nous squaterons encore une fois les fauteuils pour dormir et il fera très frais le samedi 17 avril lorsque nous débarquons à Toulon à 6h30. Plus frais encore sur la route du retour, j’ai les mains gelées, le cerveau embrumé, les souvenirs se mélangent déjà
Arrivés à Sausset à 8h30, ne surtout pas faire de bruit, notre cadette dort encore à cette heure-ci. Nous entrons sur la pointe des pieds pour découvrir une très belle surprise.Elle nous attend déjà avec sa grande sœur venue spécialement et avec le petit-déjeuner tout prêt ! Un très beau moment qui nous permettra de partager de suite nos impressions et de leur conseiller vivement d’aller visiter cette île hors du temps avec ses autochtones si charmants.
La maman de Gégé qui est italienne, a visité la Sardaigne en 1985. Elle nous avait dit avoir pleuré d'émotion devant tant de beautés aperçues, je réalise et comprends maintenant seulement ce qu’elle pouvait ressentir.
Mon compte-rendu est particulièrement long et détaillé (désolée ) mais j’avais envie de vous faire partager tout cet amalgame de gentillesse, bonté et beauté sarde. Je ne m’en lasse pas, merci d'avoir lu jusqu'au bout
En fin d’après-midi, petite balade pour tester mon « nouvel » embrayage. Il est comme neuf, nous allons pouvoir reprendre des petites routes viroleuses et des cols en Corse pour arriver à Bastia.Vendredi 16 AVRIL 2010
Nous démontons une dernière fois notre tente. Gégé va payer le camping pendant que je fixe les derniers bagages. Au retour, il pose ma carte d’identité sur mon top-case
L’embarquement sur le ferry à Bastia se fait ce soir à 18h30.
Nous quittons la Sardaigne à 10h et arriverons à Bonifacio à 11h.
C’est le cœur lourd que nous quittons le camping avec une petite heure d’avance, ça nous laisse une marge au cas où…
Sur la longue ligne droite, nous roulons tranquillement, les images se bousculent dans ma tête et subitement après 7-8 kms j’ai une révélation. J’ai oublié de ranger la carte d’identité posée sur mon top-case, elle est forcément tombée lors du demi-tour effectué dans le camping J’accélère un grand coup pour dépasser Gégé, je m’arrête pour lui annoncer la nouvelle.
Il me demande de vérifier quand même dans mon portefeuille mais je sais qu’elle n’y est pas.
Afin de ne pas le contrarier d’avantage, je descends de la moto et là, j’aperçois ma carte d’identité coincée entre le top-case et mon gros sac baluchon fixé sur la selle. Miracle de l’aérodynamisme… . Quel grand coup de bol, elle aurait pu s’envoler maintes fois sur la route et aurait été introuvable par la suite.
Pour acheter les billets de traversée Sardaigne-Corse, ils la demandent pour enregistrer les passagers….un acte manqué qui traduisait très bien mon envie de rester en Sardaigne et de refaire un tour !
Nous finissons par arriver largement en avance sur le petit port d’embarquement et serons accompagnés d’une classe d’ado.
Gégé en profite pour faire sa page d’écriture…. Les gabians voyagent gratuitement Et la Corse nous tend ses bras avec ses cimes toujours enneigées Nous devrions faire le plein d’essence à la descente du bateau mais à 1,53/litre, c’est exagéré. Nous verrons plus loin et histoire de ne pas s’emmerder sur la nationale qui monte à Bastia et vu que nous avons encore de la marge nous reprenons la direction des aiguilles de Bavella mais en passant par Levie cette fois-ci.
Mon éléfant est heureux d’avoir retrouvé toute sa fougue et il s’amuse sur les petites routes
Ce sursaut d’énergie lui donne très soif et je tombe sur la réserve…aïe, aïe, aïe…il n’y a pas beaucoup de stations dans les montagnes…
Nous traversons plusieurs villages sans stations, je ralentis le rythme, je fini par couper le moteur dans les descentes de col..et hop, 5 kms de gagnés !
Dans le village de Levie, Gégé demande où est la prochaine station. On lui répond qu’elle se trouve à la sortie du village à 2kms mais qu’elle est très certainement fermée à cette heure-ci. Il est 12h17, nous fonçons et effectivement elle est fermée de 12h15 à 13h30. Retour au village, nous n’avons pas le choix. Ca fait 40 kms que je suis sur la réserve…nous mangerons tranquillement au resto du village en attendant qu’elle ouvre Le retour sur Bastia s’est fait de manière bien triste…de longues lignes droites en roulant aux allures légales. Jamais vu autant de contrôles radars mobiles et en véhicules banalisés (moto et auto) A raison d’un flic planqué dans les fourrés tous les 6-7 kms, pas le choix, tu t’adaptes
80 kms dans ces conditions, c’est très long et très ennuyeux…surtout lorsque ça bouchonne sévèrement sur les 15 derniers kms. S’agit pas d’être à la bourre en voiture, le jour où tu dois prendre le ferry !
Nous sommes à Bastia vers 17h30, une heure d’avance. Une dernière coupe de glace sur le port et c’est bien tristes que nous rejoignons l’énorme ferry de Mobylines qui va engloutir nos éléfants et nous ramener à Toulon
Bastia à la tombée de la nuit La traversée se passera aussi bien au retour qu’à l’aller, nous squaterons encore une fois les fauteuils pour dormir et il fera très frais le samedi 17 avril lorsque nous débarquons à Toulon à 6h30. Plus frais encore sur la route du retour, j’ai les mains gelées, le cerveau embrumé, les souvenirs se mélangent déjà
Arrivés à Sausset à 8h30, ne surtout pas faire de bruit, notre cadette dort encore à cette heure-ci. Nous entrons sur la pointe des pieds pour découvrir une très belle surprise.Elle nous attend déjà avec sa grande sœur venue spécialement et avec le petit-déjeuner tout prêt ! Un très beau moment qui nous permettra de partager de suite nos impressions et de leur conseiller vivement d’aller visiter cette île hors du temps avec ses autochtones si charmants.
La maman de Gégé qui est italienne, a visité la Sardaigne en 1985. Elle nous avait dit avoir pleuré d'émotion devant tant de beautés aperçues, je réalise et comprends maintenant seulement ce qu’elle pouvait ressentir.
Mon compte-rendu est particulièrement long et détaillé (désolée ) mais j’avais envie de vous faire partager tout cet amalgame de gentillesse, bonté et beauté sarde. Je ne m’en lasse pas, merci d'avoir lu jusqu'au bout
Modifié en dernier par Mimi le mar. mars 15, 2011 5:20 pm, modifié 1 fois.
La seule chose qu'on est sûr de ne pas réussir est celle qu'on ne tente pas - P.E Victor
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
ça a été avec beaucoup de plaisir MimiMimi a écrit : Mon compte-rendu est particulièrement long et détaillé (désolée ) ce n'est que mieux
mais j’avais envie de vous faire partager tout cet amalgame de gentillesse, bonté et beauté sarde. Je ne m’en lasse pas, merci d'avoir lu jusqu'au bout
vous donnez vraiment envie d'y aller
"Dans la vie, rien n'est à craindre, tout est à comprendre." Marie Curie
Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Encore merci pour ce beau CR qui donne envie d'y aller, encore plus aujourd'hui enfermé dans mon bureau avec comme seul décor le bardage gris des murs et la pluie.
Vos photos m'ont fait du bien.
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Ah ! c'est enfin fini !!! C'était insupportableMimi a écrit :... merci d'avoir lu jusqu'au bout
La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort coronée
Quand la bise fut venue...
Tout l'été,
Se trouva fort coronée
Quand la bise fut venue...
Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Commentaire supprimé
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
Il n'est jamais trop tard pour bien faire
Ca y est ! J'ai enfin fini le tri + montage des photos + vidéos prises lors de notre fabuleux séjour en Sardaigne.
Merci à Misty et Jean-Mi pour leurs conseils et aides précieuses
Pas facile d'éliminer certaines séquences, j'ai essayé de faire au plus court...et pourtant, la version intégrale dure quand même 22 mn...
Pour ceux qui ont le temps, installez-vous confortablement
http://vimeo.com/11992613
Il y a aussi la version en deux épisodes pour les plus pressés
1er épisode, environ 11 mn
http://vimeo.com/11989392
et le deuxième épisode d'environ 11 mn aussi
http://vimeo.com/11967904
Ca y est ! J'ai enfin fini le tri + montage des photos + vidéos prises lors de notre fabuleux séjour en Sardaigne.
Merci à Misty et Jean-Mi pour leurs conseils et aides précieuses
Pas facile d'éliminer certaines séquences, j'ai essayé de faire au plus court...et pourtant, la version intégrale dure quand même 22 mn...
Pour ceux qui ont le temps, installez-vous confortablement
http://vimeo.com/11992613
Il y a aussi la version en deux épisodes pour les plus pressés
1er épisode, environ 11 mn
http://vimeo.com/11989392
et le deuxième épisode d'environ 11 mn aussi
http://vimeo.com/11967904
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
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- jeanmi
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
super sympa, bravo pour cette suite de CR qui donne encore et toujours plus envie de découvrir cette île............
semper carpe diem
- Misty
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Re: Sardaigne à dos d'Eléfants avril 2010
bravo Mimi... chouette musique
"Un individu conscient et debout est plus dangereux pour le pouvoir que dix mille individus endormis et soumis" Gandhi
気 合
気 合